Recette tarte patates douces

Crédit photo : Alida’s Kitchen

 

Recette classique du sud, la tarte aux patates douces tire ses origines d’Afrique. C’est un dessert savoureux qui marie les arômes de la patate douce au caractère chaleureux de la cannelle et de la muscade.

 

10portions 

 

Ingrédients 
  • 2 lb (900 g) de patates douces 
  • ½ tasse (125 ml) de lait 
  • 1 c. à soupe (15 ml) de compote de pommes 
  • 2 c. à soupe (30 ml) de cassonade 
  • 2 œufs 
  • 1 c. à soupe (15 ml) de margarine ramollie 
  • 1 c. à thé (5 ml) de cannelle 
  • 1 c. à thé (5 ml) d’extrait de vanille

 

Préparation 
  1. Préchauffer le four à 400 °F (200 °C) et huiler un moule à tarte de 22 cm. 
  2. Placer les patates douces sur une plaque de cuisson et cuire au four de 50 à 60 minutes, jusqu’à ce qu’elles soient tendres. Les laisser refroidir pendant 10 minutes, puis en retirer la chair à l’aide d’une cuillère et la déposer dans un grand bol. 
  3. Ajouter le reste des ingrédients dans le bol, puis réduire en purée à l’aide d’un batteur électrique. Verser le mélange dans le moule à tarte. Baisser la température du four à 350 °F (175 °C). 
  4. Cuire au four de 45 à 50 minutes ou jusqu’à ce qu’un couteau inséré au centre de la tarte ressorte propre. Laisser refroidir, puis couvrir et réfrigérer jusqu’au service. 
Recette Latkes

Crédit photo : Mordu

 

Ces galettes de pommes de terre croustillantes sont un incontournable de Hanoukka. Dégustez-les avec de la compote de pommes ou garnies de crème sure!

 

Donne 25latkes.

Ingrédients 
  • 1 gros oignon (environ ¾ tasse ou 175 ml) 
  • 2 lb (900 g) de pommes de terre jaunes 
  • 2 gros œufs 
  • 1 c. à thé (5 ml) de sel 
  • ½ c. à thé (2,5 ml) de poivre noir 
  • ½ c. à thé (2,5 ml) de poudre d’ail 
  • 2 c. à soupe (30 ml) d’huile d’olive

 

Préparation 
  1. Préchauffer le four à 170 °F (75 °C). Déposer une grille sur une plaque de cuisson. 
  2. Peler l’oignon, puis le couper en quatre. Au robot, hacher finement les quartiers d’oignons. Les mettre dans une passoire et poser la passoire sur un bol. 
  3. Avec les disques déchiqueteurs fins du robot, râper les patates. Les ajouter aux oignons dans la passoire. 
  4. Mélanger les oignons et les patates à la main. Presser le mélange à plusieurs reprises pour extraire le plus de liquide possible (le bol sous la passoire le recueillera). Il s’agit de l’étape la plus importante. Plus le mélange est sec, plus les latkes seront croustillants et plus ils se tiendront. Ne pas chercher à absorber le liquide en ajoutant de la farine : ce n’est pas nécessaire et le résultat serait moins bon. 
  5. Dans un grand bol, fouetter les œufs, le sel, le poivre et la poudre d’ail. Ajouter le mélange d’oignons et de patates pressés, puis mélanger le tout à l’aide d’une fourchette. 
  6. Dans une poêle antiadhésive moyenne (30 cm), chauffer l’huile à feu moyen jusqu’à ce qu’elle soit chaude, mais sans qu’elle fume. Un peu plus d’un centimètre d’huile devrait recouvrir tout le fond de la poêle. 
  7. Mettre environ 2 cuillères à soupe de mélange dans la poêle et l’écraser avec une spatule pour former une galette. On peut frire 4 latkes en même temps dans la poêle. (Truc de pro : utiliser deux poêles à la fois pour réduire le temps de cuisson de moitié!) 
  8. Cuire les latkes jusqu’à ce que le dessous soit doré (environ 5 minutes), puis les retourner et continuer la cuisson jusqu’à ce que l’autre côté soit également doré (environ 5 minutes de plus). 
  9. Une fois cuits, déposer les latkes sur un essuie-tout pour absorber l’excédent d’huile, puis les mettre sur la grille déposée sur la plaque de cuisson et enfourner pour les garder au chaud. Entre les cuissons, remuer le mélange d’œufs et de patates pour qu’il reste lié. 
  10. On peut préparer les latkes un jour à l’avance et les réchauffer au four juste avant de les servir.
Buffet du temps des fêtes

Crédit photo : The Healthy Fish

 

La période des Fêtes est de nouveau à nos portes! Festivités, activités scolaires spéciales, réunions familiales et amicales se profilent à l’horizon. Et aussi, bien sûr, tout plein de mets qui donnent l’eau à la bouche! Mais l’abondance de sucreries, petits délices et plats décadents s’accompagne parfois d’une contrepartie nuisible : la culpabilité alimentaire. La saison des Fêtes, moment où la nourriture est au cœur de nos rassemblements, est particulièrement propice à faire ressortir ce travers de société. Pétris de bonnes intentions, nous pouvons en effet transmettre lorsqu’on n’y prend pas garde des messages culpabilisants aux enfants autour de nous. Les enfants prennent souvent les mots au pied de la lettre. Le simple fait de qualifier un aliment de « bon » ou « mauvais » ou encore d’évoquer un comportement compensatoire après avoir mangé peut facilement les amener à culpabiliser sur la nourriture. Voici quelques exemples de messages à éviter : 

 

« Je peux tricher, c’est Noël! » 

« Ce plat est trop bon : je vais devoir me mettre au régime en janvier. » 

« Je prends du poids rien qu’en regardant cette trempette! » 

« Cette recette déborde de beurre, mais ça en vaut la peine. » 

« Je dois économiser des calories pour le souper de ce soir. » 

 

Il est important d’éliminer les messages qui peuvent être teintés de honte ou de culpabilité pendant les Fêtes pour favoriser une attitude saine envers la nourriture et promouvoir une image corporelle positive. Voici huit stratégies pour réduire l’impact de ces messages : 

 

DONNEZ L’EXEMPLE  

Les adultes devraient s’abstenir de parler de régimes, de poids ou d’apparence devant les enfants. Donnez l’exemple en adoptant des attitudes et des comportements bienveillants à l’égard de l’alimentation et de l’image corporelle.   

 

ADOPTEZ UN TON POSITIF 

Incitez les gens à voir l’alimentation et la diversité corporelle sous un angle positif et valorisant. Insistez sur le fait que tous les corps sont uniques et méritent amour et respect. 

 

UTILISEZ UN LANGAGE NEUTRE 

Lorsque vous parlez de nourriture ou d’alimentation, optez pour un langage neutre et dénué de jugement. Évitez les phrases qui qualifient les aliments de « bons » ou de « mauvais ». 

 

FAITES DÉVIER LA CONVERSATION 

Lorsque quelqu’un commence à discuter de régime ou de poids, redirigez la conversation vers des sujets plus positifs et inclusifs. Par exemple, parlez de vos traditions du temps des Fêtes, de souvenirs communs ou d’autres choses n’ayant pas trait à l’alimentation. 

 

NE LAISSEZ QUE LA JOIE AU MENU 

Invitez les enfants à discuter du plaisir de manger et de partager un bon repas entre amis ou en famille. Exprimez combien la nourriture peut être délicieuse, agréable et source de joie. 

 

RECONNAISSEZ LES SENTIMENTS EXPRIMÉS 

Si les enfants ont des inquiétudes ou des questions sur leur corps ou leurs habitudes alimentaires, offrez-leur un espace sûr et ouvert pour qu’ils puissent s’exprimer sans jugement. 

 

CÉLÉBREZ LA BEAUTÉ UNIVERSELLE, TOUTES TAILLES CONFONDUES 

Renforcez l’idée que peu importe la forme ou la taille d’une personne, le corps de chacun est unique, digne de respect et mérite d’être valorisé. 

 

APPRENEZ AUX ENFANTS À ÊTRE À L’ÉCOUTE DE LEUR CORPS 

Inculquez aux enfants qu’ils sont maîtres de leur corps et de leurs choix alimentaires. Renforcez la conscience qu’ils ont d’eux-mêmes, et insistez sur l’importance d’écouter les signaux de faim comme ceux de satiété. 

 

La période des Fêtes est un excellent moment pour cultiver des valeurs et attitudes positives à l’égard de la nourriture et de l’image de soi. En favorisant un environnement sain et respectueux, nous pouvons aider les enfants à développer une bonne estime corporelle et à avoir une alimentation équilibrée tout au long de leur vie. 

Bannière décore ta tuque

 

Sortez votre peinture et vos crayons de couleur! Avec ce bricolage, laissez vos plus jeunes user de leur imagination pour décorer leur propre tuque.

 

Matériel

  • Modèle de tuque à imprimer
  • Peinture ou crayon-feutre
  • Matériel au choix pour décorer la tuque : de la laine, de la ouate ou autres (paillettes, etc.)
  • Ciseaux
  • Colle

Matériel pour bricolage

 

Étapes

Découper le dessin de la tuque

1. Imprimez le dessin de la tuque et découpez-le.

Peinturer et colorier le bricolage

2. Peinturez ou colorez la tuque comme vous voulez.

3. Utilisez votre matériel pour coller le pompon de la tuque (laine) et le rebord de la tuque (ouate).

Résultat final du bricolage

Et voilà!

 

Téléchargez votre tuque ici!

 

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Boucherville, Québec, 22 novembre 2023 – Le Club des petits déjeuners attendait avec impatience l’Énoncé économique de l’automne 2023. Après avoir rencontré d’importants acteurs gouvernementaux à Ottawa le lundi 20 novembre, et après plusieurs mois de discussions, le gouvernement du Canada ne semble pas reconnaître la gravité de la situation, surtout en ce qui concerne l’insécurité alimentaire chez les élèves.

 

Le Club des petits déjeuners reconnaît les efforts déployés par le gouvernement fédéral pour aider la classe moyenne. Cependant, il est évident que les mesures annoncées ne sont pas suffisantes pour répondre aux besoins des groupes plus vulnérables, et notamment des enfants. Au cours des dernières années, le Club des petits déjeuners ainsi que plusieurs autres organismes ont exprimé de sérieuses préoccupations. Or, alors que les derniers mois ont été marqués par une grande incertitude économique pour les familles, le gouvernement n’a toujours pas mis en place le programme national d’alimentation scolaire qu’il s’était engagé à mettre sur pied il y a près de cinq ans. Cette initiative a été initialement annoncée dans le Budget de 2019, puis incluse comme promesse électorale dans la Plateforme 2021 du Parti libéral du Canada.

 

« En tant que seul organisme en nutrition scolaire à l’échelle nationale, nous exprimons notre mécontentement à l’égard de l’Énoncé économique de l’automne 2023, qui ne répond pas adéquatement à la crise urgente à laquelle les enfants sont confrontés. Les dernières allocations budgétaires ne comportent pas les mesures nécessaires pour assurer l’accès équitable à une alimentation nutritive. Il est urgent d’agir pour qu’aucun enfant n’entame sa journée d’école le ventre vide. Les libéraux auraient dû honorer leur promesse électorale de 2021 et donner la priorité au bien-être des enfants au Canada en renforçant leur engagement à mettre en œuvre une politique nationale d’alimentation scolaire. Cette année, une fois de plus, le gouvernement faillit à ses promesses envers les enfants », commente Tommy Kulczyk, président et chef de la direction du Club des petits déjeuners.

 

L’insécurité alimentaire a atteint son paroxysme au Canada

Selon les données les plus récentes de Statistique Canada, l’insécurité alimentaire des ménages a atteint un niveau record dans les dix provinces du Canada. Le dernier rapport de l’Université de Toronto sur l’insécurité alimentaire des ménages au Canada (disponible en anglais seulement), qui s’appuie sur L’Enquête canadienne sur le revenu (ECR), révèle que le pourcentage de ménages ayant un accès inadéquat ou incertain à la nourriture en raison de contraintes financières est passé de 15,9 % en 2021 à 17,8 % en 2022. Cela représente 6,9 millions de Canadiens, dont près de 1,8 million d’enfants de moins de 18 ans.

 

Les familles à faible revenu sont les plus exposées à l’insécurité alimentaire, avec des taux presque deux fois plus élevés que la moyenne générale (35 % contre 18 %). Cependant, la majorité des familles en situation d’insécurité alimentaire ont des revenus supérieurs au seuil de pauvreté. En fait, environ 80 % des familles confrontées à l’insécurité alimentaire se situent au-dessus du seuil de pauvreté.

 

Ces données ne tiennent pas compte des personnes vivant dans les collectivités des Premières Nations ou dans les territoires où les taux d’insécurité alimentaire sont généralement encore plus élevés.

 

« Nous vivons un moment décisif où les familles et les enfants au Canada sont aux prises avec une crise liée au coût de la vie d’une ampleur sans précédent. La mise à jour économique de l’automne aurait été une bonne occasion pour le gouvernement fédéral d’intervenir et d’accorder la priorité aux investissements dans les programmes de nutrition scolaire, en veillant à ce que chaque enfant d’âge scolaire au pays ait accès aux nutriments essentiels pour réaliser son plein potentiel. Ces dernières années, le gouvernement fédéral a utilisé cette plateforme à plusieurs reprises pour annoncer des budgets dans des situations exceptionnelles. Et nous en sommes rendus à une situation exceptionnelle », ajoute Judith Barry, cofondatrice et directrice des relations gouvernementales.

 

À la fin du mois d’octobre, le gouvernement fédéral a publié un rapport intitulé Ce que nous avons entendu à la suite de consultations publiques visant à recueillir des commentaires sur une politique nationale en matière d’alimentation dans les écoles. Bien que le rapport présente les caractéristiques souhaitées d’un éventuel programme d’alimentation scolaire, aucune information concernant les prochaines étapes ou le calendrier de mise en œuvre n’a été divulguée.

 

Le Club des petits déjeuners poursuivra ses efforts dans les semaines et les mois à venir pour travailler avec le gouvernement du Canada ainsi que ses partenaires publics et privés à l’élaboration et à la mise en œuvre d’un programme national d’alimentation scolaire.

 

À propos du Club des petits déjeuners

Depuis 1994, le Club des petits déjeuners travaille avec des partenaires de tous les secteurs pour aider les enfants à accéder à un petit déjeuner nutritif et à atteindre leur plein potentiel. Accrédité par Imagine Canada pour sa saine gouvernance et reconnu par Aliments du Québec pour sa valorisation des produits alimentaires locaux en plus de ses efforts à travers le Canada, le Club contribue à rejoindre des enfants dans toutes les provinces et tous les territoires à travers le pays. Apprenez-en plus sur notre site Internet au clubdejeuner.org ou suivez-nous sur Facebook, Instagram, Twitter et LinkedIn.

 

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Source : Club des petits déjeuners
Pour de plus amples informations :
Eric Aach, eaach@national.ca, 514 569-3594

Ottawa, Ontario, 20 novembre 2023 — Dans le cadre de la Journée nationale de l’enfant, le Club des petits déjeuners rencontre ce matin des députés et des sénateurs à l’occasion d’un Déjeuner sur la Colline. Cet événement est l’occasion de discuter de l’importance que revêt la mise en œuvre d’une politique nationale d’alimentation scolaire afin qu’aucun enfant ne commence sa journée scolaire le ventre vide, ce qui diminuerait ses capacités d’apprentissage et l’empêcherait de grandir en bonne santé émotionnelle et physique et, par conséquent, d’atteindre son plein potentiel.

 

Cet événement est l’occasion d’attirer l’attention sur la mission du Club des petits déjeuners, seul organisme en nutrition scolaire à l’échelle nationale, et de discuter du rôle que les différentes parties prenantes sont appelées à jouer pour protéger le bien-être des enfants à travers le pays et veiller à ce que leurs droits soient respectés.

 

Un sondage réalisé par Maru/Blue au début de l’année pour le compte du Club des petits déjeuners a montré que 88 % des Canadiens croient fermement que les gouvernements fédéraux, provinciaux et municipaux devraient faire de la faim et de la malnutrition des enfants et des adolescents une priorité. De plus, 84 % estiment que le gouvernement fédéral devrait mettre en place un programme national d’alimentation scolaire, ce que le Parti libéral du Canada a promis de faire lors des élections fédérales de 2021.

 

Politique nationale d’alimentation scolaire

S’appuyant sur de nombreuses années de collaboration avec le gouvernement fédéral et l’écosystème de la nutrition scolaire, le Club des petits déjeuners profite de l’occasion pour réitérer l’importance de l’engagement du gouvernement fédéral à élaborer et à mettre en œuvre un programme national d’alimentation scolaire. L’événement donne également aux députés l’occasion d’entendre les points de vue des partenaires régionaux et locaux.

 

À la fin du mois d’octobre, le gouvernement du Canada a publié un rapport intitulé Ce que nous avons entendu à la suite des consultations publiques pour recueillir les commentaires sur une politique nationale en matière d’alimentation dans les écoles. Le Club des petits déjeuners et le gouvernement du Canada ont une priorité en commun : veiller à ce que chaque enfant ait le meilleur départ possible dans la vie. La rencontre d’aujourd’hui est l’occasion de discuter des points saillants de ce rapport de façon non partisane et de constater que presque tous les participants à la consultation s’entendent pour dire que les programmes d’alimentation scolaire sont bénéfiques pour les enfants et pour l’ensemble de la collectivité.

 

Le Club des petits déjeuners est heureux d’avoir appuyé le gouvernement tout au long des consultations et espère que des mesures immédiates seront prises. Un effort collectif du gouvernement et de tous les membres de la Chambre des communes est nécessaire pour obtenir les engagements financiers requis afin de mettre en œuvre un programme d’alimentation scolaire à frais partagés qui respecte les principes et les objectifs énoncés dans le récent rapport.

 

Citations

« L’avenir des enfants dépend des décisions et des mesures que nous prenons aujourd’hui. Un programme national d’alimentation scolaire permettrait à un plus grand nombre d’enfants, d’un océan à l’autre, d’avoir accès à des aliments nutritifs, ce qui améliorerait leur santé générale et leurs résultats scolaires. Nous continuerons à intensifier nos efforts de sensibilisation afin qu’une politique nationale soit mise en place le plus rapidement possible. » — Judith Barry, cofondatrice et directrice des relations gouvernementales, Club des petits déjeuners

 

« Les gargouillements de ventres vides peuvent avoir un impact majeur sur les enfants en classe, en affectant leur estime de soi et en les empêchant de se concentrer sur leurs travaux scolaires. En collaboration avec les provinces, les territoires, les partenaires autochtones et les parties prenantes comme le Club des petits déjeuners, nous élaborons une politique nationale d’alimentation scolaire pour atteindre notre objectif d’offrir aux enfants un avenir sain et brillant. Lorsque les enfants disposent des aliments nutritifs dont ils ont besoin, ils peuvent se concentrer sur ce qui compte le plus : apprendre et grandir en classe. » — L’honorable Jenna Sudds, ministre de la Famille, des Enfants et du Développement social

 

« Beaucoup trop d’enfants arrivent en classe le ventre vide, et nous nous engageons à mettre en place notre politique nationale d’alimentation scolaire afin que chaque enfant puisse atteindre son plein potentiel. Merci au Club des petits déjeuners pour votre partenariat continu dans le cadre de cette importante initiative. » — L’honorable Lawrence MacAulay, ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire

 

« Alors que l’inflation affecte les familles québécoises et canadiennes qui s’efforcent de faire face à une pression financière accrue, ce sont 1,8 million d’enfants qui vivent aujourd’hui en situation d’insécurité alimentaire. Ces conditions sont inadmissibles et nous avons l’obligation, en tant que société responsable du bien-être de nos enfants, d’y remédier rapidement. » — Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Bloc Québécois et porte-parole Famille, Enfants et Développement social

 

« Le Canada demeure le seul pays du G7 à ne pas disposer d’un programme national d’alimentation scolaire. Il est grand temps que le gouvernement libéral tienne sa promesse et investisse dans la création d’un tel programme. Aucun enfant ne devrait jamais avoir à apprendre le ventre vide. Un programme national de repas scolaires contribuera à garantir que chaque enfant bénéficie du meilleur départ possible dans la vie et des aliments nutritifs dont il a besoin. » — Leah Gazan, députée de Winnipeg-Centre, Nouveau Parti démocratique et porte-parole Famille, Enfants et Développement social

 

À propos du Club des petits déjeuners

Depuis 1994, le Club des petits déjeuners travaille avec des partenaires de tous les secteurs pour aider les enfants à accéder à un petit déjeuner nutritif et à atteindre leur plein potentiel. Accrédité par Imagine Canada pour sa saine gouvernance et reconnu par Aliments du Québec pour sa valorisation des produits alimentaires locaux en plus de ses efforts à travers le Canada, le Club contribue à rejoindre des enfants dans toutes les provinces et tous les territoires à travers le pays. Apprenez-en plus sur notre site Internet au clubdejeuner.org ou suivez-nous sur Facebook, Instagram, Twitter et LinkedIn.

 

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Source : Club des petits déjeuners
Pour de plus amples informations : Eric Aach, eaach@national.ca, 514 569-3594

En partenariat avec le programme voix unies de Rogers, le Club lance la campagne « Alimenter leur avenir, un petit déjeuner à la fois »

 

Boucherville, 13 novembre 2023 – À l’approche du temps des Fêtes, le Club des petits déjeuners lance la campagne Alimenter leur avenir, un petit déjeuner à la fois pour attirer l’attention sur l’importance de nourrir le potentiel des adultes de demain, particulièrement dans le contexte économique difficile actuel. La campagne, également diffusée sur les plateformes de Rogers Sports & Média dans le cadre de son programme voix unies, se déroulera jusqu’au 31 décembre 2023.

 

En cette fin d’année 2023, au Canada, 1 enfant sur 3 est encore à risque d’aller à l’école le ventre vide. Bien que les besoins et la demande pour des programmes de petits déjeuners continuent de croître, le Club ne peut, pour le moment, qu’assurer le maintien des programmes existants, en raison de l’inflation des prix alimentaires.

 

« Nous le savons tous et toutes : les familles et les enfants, tout comme l’ensemble de la société, souffrent de l’augmentation du coût de la vie et de la nourriture », explique Tommy Kulczyk, président et chef de la direction du Club des petits déjeuners. « C’est pourquoi notre campagne est si importante, particulièrement à l’approche du temps de Fêtes. Le partenariat avec Rogers nous permettra de mieux faire connaître la cause et de recueillir des fonds essentiels. Plus que jamais, chaque geste, petit ou grand, aide à alimenter l’avenir des enfants. »

 

Quelques mois après la rentrée scolaire, le Club constate une augmentation de la fréquentation au sein des programmes en place. Les programmes d’alimentation scolaire sont en effet de plus en plus importants pour les écoles, puisqu’ils permettent d’offrir aux élèves une variété d’aliments nutritifs. Le temps des Fêtes en est un de générosité! Le Club invite donc la population à donner aux enfants la chose la plus importante pour bien commencer leur journée d’école : un petit déjeuner nutritif.

 

« La campagne Alimenter leur avenir, un petit déjeuner à la fois est une belle occasion pour sensibiliser le grand public à une cause importante, celle de l’accès à de bons aliments à l’école pour tous les enfants, peu importe leur situation », souligne Sharon Hinds, cheffe du programme voix unies de Rogers Sports & Média. « Nous comptons mettre nos plateformes au service du Club des petits déjeuners afin qu’il puisse continuer à créer un environnement inclusif et accueillant où chaque enfant a une chance de réaliser son plein potentiel. Nous invitons tous nos collaborateurs à se joindre à nous pour aider le Club à atteindre son objectif : que tous les enfants du pays commencent la journée le ventre plein. »

 

Pour en savoir plus sur la campagne ou pour faire un don : https://www.breakfastclubcanada.org/fr/fetes2023/

 

À propos du Club des petits déjeuners

Depuis 1994, le Club des petits déjeuners travaille avec des partenaires de tous les secteurs pour aider les enfants à accéder à un petit déjeuner nutritif et à atteindre leur plein potentiel. Accrédité par Imagine Canada pour sa saine gouvernance et reconnu par Aliments du Québec pour sa valorisation des produits alimentaires locaux en plus de ses efforts à travers la Canada, le Club contribue à rejoindre des enfants dans toutes les provinces et tous les territoires à travers le pays. Apprenez-en plus sur notre site Internet au clubdejeuner.org ou suivez-nous sur Facebook, Instagram, Twitter et LinkedIn.
 

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Pour en savoir plus sur le Club des petits déjeuners ou parler à une porte-parole, communiquez avec :

Hermanie Desrosiers, hermanie.desrosiers@clubdejeuner.org.

Innovatrice, passionnée, visionnaire et bienveillante, voici les ingrédients qui composent les fibres de la famille Tsouflidou. Pour souligner les 15 ans de partenariat avec les restaurants Cora, l’équipe du Club des petits déjeuners s’est entretenue avec Cora Tsouflidou, fondatrice de la chaîne de restaurants. À table pour une conversation pétillante et inspirante. 

 

Les petits déjeuners sont votre spécialité, nous aussi! Pourquoi est-ce que le déjeuner est important pour votre famille? 

Les déjeuners sont notre spécialité depuis plus de 36 ans. J’ai ouvert le premier petit resto Cora le jour de mes 40 ans, le 27 mai 1987. Depuis, le premier repas de la journée, et le plus important, est devenu pour mes enfants et moi le déjeuner. Dans ce premier petit resto de 29 places assises, plusieurs grandes choses sont arrivées!  

Nous avons vite appris à travailler ensemble, les enfants et moi. Très rapidement, nous avons révolutionné le statu quo du « 2 œufs bacon » et avons créé ensemble et de toute pièce une nouvelle façon de ravir nos clients; un véritable concept de restauration matinale.  

Cette idée géniale et innovatrice a non seulement transformé le déjeuner de jadis, mais notre propre vie de famille. Nous sommes devenus une solide équipe de franchiseur et rapidement nous avons voulu aider les moins nantis autour de nous, incitant nos franchisés à s’investir dans différentes activités caritatives. 

Cette année souligne 15 ans de partenariat entre le Club et les restaurants Cora. Quelle était la source de votre motivation à nourrir le potentiel des enfants? 

Quelques jours après la naissance de mon premier petit-fils, une copine m’a donné un magnifique canard blanc de porcelaine lui ayant servi de jarre à biscuits dans l’opulente cuisine de son ancienne vie. Tout blanc avec un long cou et le bec peinturé du même jaune que mon soleil, le canard était quasiment aussi gros qu’un vrai à maturité. Lorsque j’ai serré dans mes bras ce magnifique oiseau, il devint presque immédiatement l’inspiration de la Fondation Cora de jadis. 

En voyant naître mon premier petit-fils, une nouvelle inquiétude avait serré ma gorge. Nous qui avions si peu de moyens, comment arriverions-nous à assurer à cet enfant un avenir confortable? C’est en tirant le cou du canard pour l’ouvrir que j’ai trouvé la solution. Puisque l’enfant pesait six livres à sa naissance, j’allais à partir de ce moment-là, déposer 6 $ par jour de ma poche dans le ventre du canard. J’ai installé l’oiseau domestiqué sur une tablette derrière la caisse et, après chaque fermeture, j’y enfonçais l’argent avec fierté. 

Cela a duré trois ans jusqu’à l’ouverture du deuxième resto où j’ai décidé que nous allions maintenant mettre dans le canard 6 $ par jour par restaurant. À l’ouverture du troisième resto, ce fut 18 $ par jour dans le canard. 

Comme nous manquions d’argent pour ouvrir un nouvel emplacement, nous avons décidé d’emprunter celui du canard pour l’investir dans ce quatrième restaurant d’une chaîne qui, sans le savoir, allait nourrir tout le Canada. Nous ne connaissions pas l’avenir en 1991, mais il devenait évident que la famille pourrait s’occuper de son rejeton sans difficulté. Nous avons donc cessé d’accumuler les 6 $ par jour par restaurant et avons décidé que l’argent déjà accumulé dans le canard deviendrait, au moment opportun, le premier montant donné à la Fondation Cora. Depuis ce jour, des centaines d’occasions se sont présentées pour aider des enfants ayant des besoins beaucoup plus pressants que les nôtres à cette époque. 

À mesure que notre réseau grandissait et que les besoins des enfants décuplaient, nous avons pris la décision de concentrer toutes nos distributions d’argent à l’unique grande œuvre du Club des petits déjeuners. Depuis 15 ans déjà, en très étroite collaboration avec chacun de nos franchisés, nous avons trouvé un moyen efficace d’amasser des fonds pour le Club. Chaque client de chacun de nos restaurants a maintenant la chance de contribuer à nourrir des enfants qui, très malheureusement, arrivent à l’école le ventre vide. Depuis octobre 2019, chaque fois qu’une personne choisit le « Déjeuner pour le Club » au menu, 50 sous sont remis au Club des petits déjeuners. C’est notre façon à nous d’aider les enfants nécessiteux à réaliser leur plein potentiel, un déjeuner à la fois. Nous avons aussi instauré diverses activités ponctuelles qui nous permettent de faire une différence. Par exemple, la promotion Menu enfant où chaque dollar amassé est remis au Club des petits déjeuners. 

En plus d’être une entreprise d’ici, Cora est aussi une entreprise familiale. Quelle est la recette de votre collaboration/relation? 

Notre premier resto a été ouvert parce que j’avais un urgent besoin de gagner ma vie et de nourrir mes enfants. À cause du manque de ressources, toute la vaisselle et les casseroles de notre maison (vendue pour acheter le fonds de commerce) avaient été apportés au resto. Notre vie familiale s’est installée, elle aussi, dans cet établissement. Nous y prenions, les enfants et moi, nos deux repas de la journée; celui très tôt le matin avant l’école, et celui vers cinq heures tenant lieu de souper avant d’aller dormir. Les week-ends, tout le monde travaillait au service ou à la cuisine. Le ton montait quelquefois, mais l’amour avait toujours le dernier mot.  

À mes débuts, j’étais incapable de ralentir et les enfants me suivaient, me motivant pour aller encore plus loin. Je ne pouvais absolument pas imaginer ma vie sans eux. Je n’ai pas été une mère modèle, équilibrée ni capable de séparer les exigences et les responsabilités liées à ma vie professionnelle et à ma vie familiale. C’est mon cœur de maman qui m’a donné le courage d’ouvrir un premier petit resto et ce sont mes qualités de mère de famille qui ont été déterminantes dans mon succès : la ténacité, le sens des responsabilités et de l’organisation, l’amour de ma famille, la discipline et cet ardent désir de faire plaisir au monde, de bien les accueillir, de prendre soin d’eux et d’enseigner aux miens à faire de même. Ça n’a pas toujours été facile pour mes enfants d’avoir une maman sur les talons à cœur de jour ni d’être au garde à vous lorsqu’elle exigeait qu’une nouvelle tâche soit faite immédiatement. Mais le soir au souper, nous finissions toujours par nous entendre. 

La recette de toute entreprise familiale est certainement l’amour, l’attention et l’entendement les uns envers les autres. Je considère tous nos employés et tous nos franchisés comme faisant partie de la grande famille Cora et je m’enorgueillis à penser que c’est grandement la recette de notre succès commun. Nous avons tous besoin les uns des autres et c’est essentiel de donner, de faire notre part dans la mesure où nous le pouvons. La copine qui m’a offert le magnifique canard en porcelaine en cadeau m’a inspirée à aider le plus d’enfants possible. 

Quel est votre petit déjeuner de prédilection pour bien commencer la journée? 

Mon déjeuner de prédilection est certainement la crêpe Épinards-cheddar. Le jour où je l’ai créée, personne ne pensait qu’elle deviendrait populaire! Ce fut exactement le contraire. En 1988, les épinards n’étaient pas très à la mode dans l’assiette matinale, mais je me réjouis qu’avec Popeye le marin, j’ai pu aider ce feuillu dont je raffole! 

Avez-vous une anecdote ou un souvenir marquant avec des enfants dans votre restaurant ? 

Je n’ai pas le souvenir d’une anecdote bien précise. Par contre, je me souviens que d’innombrables clientes venaient au restaurant enceintes jusqu’au cou puis revenaient plus tard me présenter leur progéniture. À coup sûr, j’étais certaine que ces familles reviendraient manger chez nous. Je me réjouissais toujours de voir arriver un deuxième enfant et parfois même un troisième! 

J’avais d’abord dessiné le soleil de notre marque de commerce. Je dessinais aussi les menus que nous affichions sur les murs de nos restaurants. Comme j’aimais particulièrement les grenouilles, j’ai eu l’idée d’avoir une mascotte qui serait une grenouille, même si elle n’avait aucun lien avec les déjeuners! J’ai dessiné la grenouille, que j’ai nommée Kiwi. Je l’ai habillée d’une veste de cuisinier et d’immenses souliers verts. 

Les enfants sont nos plus précieux clients, ceux d’aujourd’hui et de demain. Nous leurs offrons un menu joliment conçu d’une quinzaine de choix de déjeuners ainsi qu’un livre d’activités. Aujourd’hui, tous les enfants aiment la grosse grenouille Kiwi qui visite nos restaurants à l’occasion! 

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Au nom des enfants et du Club des petits déjeuners, merci à Cora Tsouflidou et à la chaîne de restauration Cora déjeuners et dîners, d’offrir aux élèves une chance égale de réussite. Depuis 2008, votre engagement alimente le potentiel des adultes de demain. Longue vie aux petits déjeuners! 

Pour découvrir davantage sur la force de la communauté du Club, découvrez les histoires derrière nos autres collaborations. 

Connaissez-vous beaucoup d’élèves qui possèdent la clé de leur école?

Viviane Harbec, étudiante de 5e secondaire à l’école Antoine-Brossard (Brossard, Québec), fait figure d’exception. En fait, la direction de son école n’a même pas hésité à lui confier les clés de l’établissement tant elle était investie dans le programme de petits déjeuners! 

 

Chaque matin, l’école secondaire Antoine-Brossard a un air de fête. Une enfilade de tables bien garnies sont mises à la disposition des quelque 1 800 élèves, permettant ainsi à plusieurs d’avoir accès à un petit déjeuner. Frédéric Jacques (animateur de vie spirituelle et d’engagement communautaire), Éric Chevalier (directeur) et Viviane accueillent les élèves dans une ambiance musicale, à la fois festive et apaisante. 

 

Viviane contribue au programme de petits déjeuners depuis son lancement à l’école, en septembre 2020. Elle entamait alors sa troisième année du secondaire et avait envie de s’investir dans le projet. À ses débuts, le programme de petits déjeuners de l’école secondaire Antoine-Brossard se limitait à la distribution de sacs déjeuners aux élèves. L’implication inconditionnelle de Viviane a permis de concrétiser un modèle de service unique et pratique : le buffet. Pour ce faire, Viviane arrive à l’école avant les autres élèves. Elle accède à l’établissement avec sa propre clé, puis commence la mise en place des tables et la préparation des aliments. Elle reste ensuite en poste, avec d’autres élèves bénévoles, pour assurer la distribution aux élèves, qui défilent jusqu’au son de la cloche. Puis vient son tour de se rendre à son premier cours de la journée. 

 

Si Viviane s’implique autant, c’est qu’elle aime redonner le sourire aux autres élèves. À 16 ans, elle reconnaît déjà l’importance de venir en aide aux personnes qui traversent des moments difficiles, à qui ce coup de pouce permet de bien commencer la journée. De nature bienveillante, il n’est pas surprenant de l’entendre dire qu’elle entreprendra, l’année prochaine, des études de niveau collégial en soins infirmiers. Un objectif qu’elle s’est fixé en 6e année! 

 

En prévision de son départ, Viviane a commencé à former les élèves qui prendront sa relève au programme de petits déjeuners de l’école. Pour couronner le tout et bien terminer cette magnifique aventure avec le Club, Viviane a appris en avril dernier qu’elle est récipiendaire de la Médaille du Lieutenant-gouverneur pour la jeunesse, un honneur reconnaissant son remarquable engagement scolaire et communautaire. Devant un tel désir de soutenir son prochain avec des actions significatives, pas étonnant que les parents de Viviane soient aussi fiers d’elle. 

 

Au nom de toute l’équipe du Club des petits déjeuners, nous te remercions, Viviane, pour ton implication au sein du programme de ton école et pour tous tes efforts quotidiens, qui ont contribué à son bon fonctionnement. Bonne chance dans tes projets! Il ne fait aucun doute que tu continueras à réaliser de grandes choses! 

Boucherville, 7 novembre — Le Club des petits déjeuners salue l’investissement de 5 millions de dollars annoncé aujourd’hui dans la mise à jour économique du gouvernement du Québec. Grâce à cette bouffée d’air, l’organisme pourra continuer de soutenir plus de 79000 enfants tous les matins à travers la province et faire face à la forte croissance des demandes vécue au cours des deux derniers mois. Après une analyse rigoureuse, le Club des petits déjeuners pourra évaluer le nombre écoles supplémentaires, actuellement sur la liste d’attente, qu’il sera possible de rejoindre grâce à cet investissement. 

 

L’aide financière annoncée était essentielle pour pouvoir faire face à la situation vécue, causée par l’inflation qui touche directement ses activités, mais aussi les familles qui font appel à ses services. Cette annonce constitue donc un premier pas dans la bonne direction, mais le chemin à parcourir pour répondre à l’ensemble des besoins est encore long.  

 

En effet, rappelons que la semaine dernière, le Club des petits déjeuners demandait au gouvernement du Québec de prévoir dans son prochain budget, les sommes nécessaires pour rejoindre les 180000 enfants qui fréquentent un établissement scolaire situé en milieu défavorisé afin de leur offrir une équité des chances de réussite. Cette demande importante demeure donc valide.   

 

Citation 

« Nous recevons l’annonce d’aujourd’hui comme une marque de confiance et comme un signal encourageant de la part du gouvernement du Québec puisque cela nous permettra de maintenir nos activités auprès des enfants, dans un contexte où les besoins sont criants et en croissance constante depuis la rentrée scolaire. » 

Tommy Kulczyk, président et chef de la direction, Club des petits déjeuners 

 

« Avoir le ventre plein, c’est un élément fondamental pour favoriser la réussite scolaire des enfants. De notre côté, nous sommes prêts, dès maintenant, à rejoindre tous les enfants en milieu défavorisé afin de leur offrir une équité des chances et nous souhaitons vivement que le gouvernement du Québec emboite le pas rapidement à ce projet réaliste et réalisable.» 

Marie-Claude Bienvenue, vice-présidente, relations gouvernementales et municipales Québec Club des petits déjeuners 

 

À propos du Club des petits déjeuners  

Depuis 1994, le Club des petits déjeuners travaille avec des partenaires de tous les secteurs pour aider les enfants à accéder à un petit déjeuner nutritif et à atteindre leur plein potentiel. Accrédité par Imagine Canada pour sa saine gouvernance et reconnu par Aliments du Québec pour sa valorisation des produits alimentaires locaux en plus de ses efforts à travers le Canada, le Club contribue à rejoindre des enfants dans toutes les provinces et tous les territoires à travers le pays. Apprenez-en plus sur notre site Internet au clubdejeuner.org ou suivez-nous sur Facebook, Instagram,  et LinkedIn. 

 

Renseignements 

Virginie Aubé Pelletier, TACT, 514 243-0329, vapelletier@tactconseil.ca 

 

Source : Club des petits déjeuners